Comment choisir ses jumelles pour l’astronomie ?

Simples d’emploi, les jumelles sont de véritables instruments d’astronomie. Elles sont indispensables à tout observateur débutant ou expert. Voici comment choisir les vôtres.

photo d'une personne observant aux jumelles un beau ciel étoilé en montagne
Immersion dans le ciel des Hautes-Alpes avec des jumelles 10×50. Photo : Carine Souplet / Stelvision.

Sommaire

L’apport des jumelles en astronomie

Le fonctionnement des jumelles

Des jumelles de quelle puissance ?

Le champ de vision

Les différentes qualités de jumelles

Le poids et l’encombrement

Comment stabiliser ses jumelles pour éviter les tremblements

Nos suggestions de jumelles pour l’astronomie

Où acheter ses jumelles ?


L’apport des jumelles en astronomie

Dans l’esprit des débutants, l’astronomie paraît indissociable du télescope. Pourtant, l’observation du ciel à l’œil nu est déjà intéressante ! Et tous les instruments d’optique, même les plus modestes, étendent les possibilités de nos yeux en augmentant la luminosité et la taille apparentes des objets observés.

Avant tout, collecter de la lumière

De simples jumelles de 35 mm de diamètre collectent 30 fois plus de lumière que l’œil nu. L’effet est immédiat : le nombre d’étoiles visibles dans une portion donnée du ciel augmente considérablement, et des objets faiblement lumineux du ciel profond deviennent accessibles !

Et le grossissement ?

La deuxième fonction d’un instrument d’optique est d’offrir un grossissement des objets observés. En la matière, les jumelles pourront sembler limitées : impossible de voir les anneaux de Saturne ou de fins détails sur la Lune. Mais un faible grossissement n’empêche pas certaines explorations lunaires intéressantes avec notamment l’identification des plus gros cratères et de certains reliefs. Quant aux planètes, elles perdent leur aspect ponctuel quand on les observe aux jumelles : Jupiter par exemple devient un petit disque blanc (impossible de le confondre avec une étoile), et on peut même voir ses principaux satellites : oui, tel Galilée qui le fit le premier, vous pouvez repérer quatre satellites de Jupiter et observer leurs mouvements de jour en jour !

L’intérêt de grossir peu : le grand champ

Le faible grossissement peut être un véritable avantage, en particulier pour les étoiles et le ciel profond : les jumelles offrent un large champ de vision, et l’on vise plus facilement avec elles qu’avec un télescope, qui nécessite un pointage extrêmement précis. Ce sont des avantages inestimables qui permettent une approche de l’astronomie plus sereine pour le débutant. D’ailleurs, même les observateurs chevronnés équipés de télescopes conservent leurs jumelles à portée de main, que ce soit pour repérer leurs cibles favorites, chasser des comètes ou pour le plaisir de la vision à grand champ.

photo d'une personne observant le ciel aux jumelles, avec plusieurs télescopes à proximité
Les jumelles et les télescopes sont deux types d’équipement complémentaires en astronomie. Photo : Carine Souplet / Stelvision.

Le fonctionnement des jumelles

Les jumelles fonctionnent presque toutes sur le même principe, en combinant un objectif, un groupe de prismes et un oculaire. L’objectif collecte la lumière à l’entrée de l’instrument et la concentre vers l’oculaire où se forme une image plus ou moins agrandie. Nous avons donc un double effet : amplification de lumière et grossissement.

Schéma de fonctionnement d'un monoculaire et d'une paire de jumelles
Éléments optiques de jumelles. À gauche : jumelle de forme droite à système de prismes en toit. À droite : paire de jumelles à système de prismes de Porro. Les jumelles vont en général par paires pour la vision avec deux yeux, sinon il s’agit d’un monoculaire. Illustration : Valentine Dubois – Stelvision

À quoi servent les prismes ? À redresser l’image : sans eux, l’image serait inversée comme avec un télescope ou une lunette astronomique. Par réflexions successives, les prismes compensent l’inversion d’image en la retournant. Deux types de prismes sont couramment utilisés :

  • prismes en toit : le faisceau lumineux reste dans le même axe que l’objectif, les jumelles sont droites ;
  • prismes de Porro : le faisceau lumineux est coudé.

Que préférer ? Les instruments à prismes en toit sont plus compacts, voire plus esthétiques avec leurs fûts bien droits. Mais ils sont aussi plus délicats à réaliser, donc plus coûteux à qualité égale.

Des jumelles de quelle puissance ?

Deux paramètres essentiels caractérisent les jumelles : le diamètre des objectifs et le grossissement.

Le diamètre des objectifs est fondamental en astronomie, car de lui dépendent directement la quantité de lumière collectée et donc la luminosité des images. Voici quelques repères pour une utilisation sous les étoiles :

Type de diamètreValeur
Minimal recommandé35 mm (jumelles)
40 mm (monoculaire)
Classique50 mm
Gros diamètreà partir de 70 mm
Diamètres typiques de jumelles utilisées en astronomie.

Le grossissement est la deuxième caractéristique essentielle. Il s’agit du rapport entre la taille apparente d’un objet vu à travers les jumelles et la taille apparente du même objet vu à l’œil nu. Par exemple avec un grossissement de 8 fois, un objet aura l’air 8 fois plus gros, c’est-à-dire qu’il apparaîtra comme si on l’observait de 8 fois plus près. Les grossissements typiques sont indiqués ici :

Type de grossissementValeur
Grossissement courant7 à 10 fois
Grossissement maximum utilisable
sans trépied
10 fois
Grossissement fort, trépied indispensable12 fois et plus
Grossissements typiques de jumelles utilisées en astronomie.

Il est clair que le grossissement offert par des jumelles n’est pas le même que celui d’un télescope (des dizaines voire des centaines de fois), mais ces instruments ne doivent pas être opposés.

Les valeurs de diamètre et de grossissement sont en général marquées sur le corps des jumelles, sous la forme de deux nombres séparés par le symbole « x » qui signifie « fois ».

Exemple : 10×50 → grossissement 10 fois (10x), diamètre 50 mm.

photo montrant le marquage d'informations techniques sur le corps de jumelles, avec la mention "10x50" qui précise le diamètre et le grossissement.
Marquage « 10×50 » sur des jumelles de 50 mm grossissant 10 fois. D’autres informations peuvent éventuellement être marquées, comme ici la valeur du champ couvert par les jumelles. Photo : Stelvision.

Une fois que l’on a compris que le diamètre est le paramètre le plus déterminant et qu’il ne faut pas toujours chercher le grossissement le plus fort, on peut hésiter entre plusieurs valeurs de grossissement pour un diamètre donné. Pour essayer de statuer sur ce point, introduisons un autre paramètre : la pupille de sortie.

Il s’agit de la taille du cylindre de lumière qui sort des jumelles et entre dans l’œil. Plus la pupille de sortie est grande, plus les jumelles fournissent une image lumineuse ; à condition toutefois que la pupille de sortie ne dépasse pas la taille de la pupille de l’œil (la partie de la lumière qui n’entre pas dans l’œil est perdue).

La pupille de sortie se calcule en divisant le diamètre des objectifs par le grossissement. Par exemple, pour des jumelles de 50 mm de diamètre ayant un grossissement de 10 fois, la pupille de sortie est de 5 mm. La pupille de l’œil humain a un diamètre de 5 à 7 mm – selon l’âge – lorsqu’elle est dilatée au maximum dans l’obscurité. On veillera donc à ne pas dépasser 7 mm de pupille de sortie pour une personne jeune, et 5 mm pour une personne âgée.

En pratique, on pourra préférer une pupille de sortie réduite. En effet, pour un diamètre donné, une pupille de sortie plus petite assombrit le fond de ciel et donne un meilleur contraste, en particulier lorsque le ciel n’est pas très noir en présence de pollution lumineuse. C’est pourquoi les jumelles 10×50 sont préférables aux 7×50 en astronomie.

Voici quelques exemples typiques de combinaisons diamètre/grossissement/pupille de sortie :

DiamètreGrossissementPupille de sortie
35 mm7 fois5,0 mm
40 mm8 fois5,0 mm
50 mm10 fois5,0 mm
50 mm7 fois7,1 mm
70 mm15 fois4,7 mm
80 mm12 fois6,7 mm
Pupille de sortie de jumelles en fonction du diamètre et du grossissement.

Le champ de vision

Ce paramètre caractérise l’étendue de la zone couverte par les jumelles et peut s’exprimer de plusieurs manières :

  • en degrés (par exemple : 6°) ;
  • en mètres à 1000 mètres : taille de la zone couverte en mètres lorsque celle-ci est située à 1000 mètres de distance.

En astronomie, seule la valeur en degrés est parlante car les distances apparentes entre les astres sont exprimées dans cette unité.

Si la valeur en degrés n’est pas disponible, on peut la déterminer à partir de la valeur en mètres avec la formule :
Champ en degrés = champ en mètres / 17,4

Exemple pour un champ donné de 114 mètres : 114 / 17,14 -> 6,5 °.

En général, plus le grossissement est important, plus le champ est réduit. Mais le champ peut aussi être différent d’un modèle à l’autre pour un même grossissement ; on préfère alors le champ le plus large, qui facilite la visée et offre une sensation d’immersion dans le ciel. Cependant, il est plus difficile de réaliser des optiques de qualité à champ large, le piqué de l’image ayant tendance à se dégrader en bord de champ. Cette dégradation se traduit par des étoiles qui s’allongent ou qui deviennent floues. Seules les jumelles haut de gamme procurent un champ de vision large avec avec des étoiles ponctuelles jusqu’au bord.

illustration montrant le champ couvert par des jumelles comparé à la taille de la Grande Ourse.
Des jumelles ont typiquement un champ de 5 à 7°, permettant par exemple de voir en même temps les deux étoiles du bord de la casserole de la Grande Ourse. Illustration : Valentine Dubois – Stelvision

Qu’est-ce que le champ apparent ?
Il s’agit de la taille angulaire du champ de vision perçu par l’œil, obtenue en multipliant le champ de vision réel (en degrés) par le grossissement. Par exemple si des jumelles offrent un champ de vision de 5° et un grossissement de 10x, alors l’œil voit une image de 50° de large. Un champ apparent de 60° (ou plus) est considéré comme « grand champ » et donne un effet immersif appréciable.

Les différentes qualités de jumelles

Les jumelles sont des instruments de précision qui nécessitent une grande rigueur dans leur conception et leur fabrication. Des différences de qualité considérables peuvent être constatées entre les marques et les modèles, avec des prix variant en conséquence, parfois dans un rapport de 1 à 20 pour un même diamètre.

La qualité optique peut être évaluée selon divers critères :

  • la luminosité (ou transmission), qui dépend des traitements des optiques et du type de verre (classiquement, on recommande des prismes en verre « BAK4 », par opposition à des prismes « BK7 » par exemple) ;
  • la finesse d’image au centre et en bord de champ ;
  • la neutralité des couleurs (absence de teinte dominante) ;
  • le chromatisme (léger flou ou liserés colorés au bord d’objets lumineux).

En astronomie, la luminosité est une qualité très importante. La finesse des images aussi, mais deux points de vue s’affrontent en ce qui concerne les zones situées vers le bord du champ de vision : certains observateurs exigeants supportent mal d’y voir des étoiles empâtées, tandis que d’autres acceptent qu’elles ne soient pas très nettes à cet endroit car l’œil privilégie naturellement la zone centrale. En pratique, des étoiles nettes sur les deux tiers du champ représentent un compromis satisfaisant quand on ne souhaite pas s’orienter vers de coûteuses jumelles haut de gamme.

La qualité mécanique concerne la solidité et le confort d’utilisation : bonne prise en main, réglages pratiques et précis, œilletons confortables et rétractables pour un positionnement correct des yeux avec ou sans lunettes… De plus, certaines jumelles sont étanches ou résistantes aux projections d’eau (waterproof).

Enfin, l’esthétique, la qualité de finition et le prestige de la marque influent également sur le prix et sur la décision finale d’achat. Celle-ci ne sera pas la même selon que l’on recherche simplement un modèle correct à prix abordable ou que l’on vise un achat « passion » : un bel objet de haute qualité à conserver sa vie durant. Dans ce dernier cas, on s’intéressera probablement à certaines marques européennes légendaires qui proposent des modèles fabriqués en Allemagne ou en Autriche. Ceux-ci cumulent hautes performances optiques, excellente qualité de fabrication… et prix beaucoup plus élevés que la moyenne.

Le poids et l’encombrement

Comme les optiques ne sont guère miniaturisables, il y a un compromis à trouver entre la puissance et la taille. L’amateur de randonnées ou le voyageur qui recherche un instrument léger et peu encombrant se limitera à des jumelles de 40 mm de diamètre, de préférence droites (à prismes en toit). Pour une transportabilité maximale, le monoculaire est une variante intéressante car très compacte. À l’inverse, si l’on n’utilise ses jumelles que dans son jardin, l’encombrement compte moins : on peut donc opter pour des jumelles de 50 mm ou plus, plutôt à prismes de Porro (moins onéreuses que les versions à prismes en toit à qualité égale).

Les très grosses jumelles

On trouve aussi des jumelles de 70 ou 80mm de diamètre, grossissant 12 ou 15 fois, souvent présentées comme dédiées à l’astronomie. Leurs performances sont en effet parfaites pour des observations du ciel profond. Mais elles sont lourdes, encombrantes, et leur grossissement rend indispensable l’utilisation d’un trépied. Si bien qu’un observateur possédant à la fois des jumelles classiques (type 10×50) et des jumelles plus grosses (par exemple 12×80 ou 15×70) aura tendance à se servir beaucoup plus souvent des premières que des secondes. Ce qui n’empêchera pas les plus passionnés – grands amateurs de ciel profond ou chasseurs de comètes – de convoiter des jumelles encore plus grosses, de 100 mm ou plus !

photo d'une personne en train d'observer le ciel nocturne avec des jumelles
Les grosses jumelles font merveille sur la Lune et le ciel profond, mais sont lourdes à l’usage. Photo : AstroStar/Shutterstock.

Le cas particulier des « yeux de hibou »

Les « yeux de hibou » sont des jumelles à grossissement très faible, de l’ordre de 2 fois, qui présentent un grand intérêt en astronomie en raison de leur champ de vision très large. Elles offrent une vision proche de la vision naturelle à l’œil nu tout en apportant un complément de lumière appréciable. Elles permettent de balayer le ciel sans aucune difficulté de pointage. Les constellations peuvent être vues en entier et apparaissent mieux marquées. Les étoiles faibles et certains objets du ciel profond se révèlent, comme si vos yeux devenaient plus sensibles : vous devenez vous-même un oiseau de nuit !

Les « yeux de hibou »  sont donc une sorte de pont entre l’observation à l’œil nu et l’observation aux jumelles classiques, appréciable pour des repérages ou pour des balades célestes à partager en famille ou entre amis.

photo de jumelles "yeux de hibou", modèle Noctua de Stelvision.
Les jumelles « yeux de hibou » (ici le modèle Noctua) sont identifiables à leur forme aplatie, les optiques étant courtes. Photo : Stelvision.

Comment stabiliser ses jumelles pour éviter les tremblements

On l’a vu, les jumelles permettent d’observer à main levée si le grossissement ne dépasse pas 10 fois. Pour des grossissements plus importants ou si l’on souhaite une stabilité parfaite pour scruter de fins détails, ou encore pour maintenir les jumelles dans une direction fixe pour une observation en groupe, un trépied s’impose. Vous pouvez utiliser un pied photo standard, sur lequel vous fixerez vos jumelles à l’aide d’un adaptateur spécial. Vous le choisirez plutôt en métal et suffisamment fin pour passer entre les deux fûts dans le cas de jumelles compactes. Un monoculaire pourvu d’un filetage peut se visser directement sur le pied.

photos d'un adaptateur trépied pour jumelles
Adaptateur trépied pour jumelles, à visser sur le trépied et sur les jumelles (enlever le capuchon de protection pour accéder au pas de vis qui se situe au niveau de l’articulation). Photos : Stelvision.

À défaut de pied photo, on peut utiliser tout moyen de fortune pour stabiliser ses jumelles : un muret, une rambarde, un toit de voiture… ou un manche à balai, assez efficace : il suffit d’observer assis et de caler le manche entre ses pieds.

illustration montrant comment caler ses jumelles ou son monoculaire sur un manche à balai pour éviter les tremblements.
Utilisation d’un manche à balai pour stabiliser des jumelles ou un monoculaire. Illustration : Stelvision.

Nos suggestions de jumelles pour l’astronomie

Parmi une grande variété de modèles, certaines jumelles sont des valeurs sûres pour se lancer dans un premier achat :

  • les jumelles 10×50, un grand classique de l’astronomie que l’on trouve à des prix abordables en version « prismes de Porro » (compter entre 100 € et 150 € pour un modèle correct) ;
  • les jumelles 8×42, moins performantes mais plus légères et dont l’encombrement réduit permet de multiples usages : astronomie, nature, sport, surtout si l’on opte pour des jumelles droites à prismes en toit (compter entre 100 € et 150 € pour un modèle correct à prisme de Porro, un peu plus pour un modèle à prismes en toit) ;
  • la variante monoculaire 8×42 à prismes en toit offre une compacité et une simplicité maximales, avec néanmoins des performances et un confort d’observation un peu moindres que la version binoculaire (compter 70 € environ pour un modèle correct).

On évitera les tout premiers prix – qui en général ne présentent pas les caractéristiques souhaitables en astronomie – tout en sachant que les modèles haut de gamme ne sont absolument pas indispensables pour s’initier avec bonheur à la découverte du ciel. La présence de prismes « BAK4 » est souvent un gage de bonne luminosité même si ce n’est pas une règle absolue. L’existence d’un filetage pour fixation sur trépied est à vérifier.

Produit Stelvision recommandé : jumelles 10×50 ST2, un rapport qualité-prix excellent pour une découverte sérieuse de l’astronomie aux jumelles

Produit Stelvision recommandé : monoculaire easyScope 8×42, un produit simple qu’on emmène partout pour des balades dans le ciel ou dans la nature

En complément, vous pouvez vous équiper de jumelles « yeux de hibou » pour faciliter vos repérages parmi les constellations.

Où acheter ses jumelles ?

Certains magasins spécialisés proposent un large choix de jumelles et permettent de les tester sur place, ce qui est appréciable. Mais de tels magasins sont plutôt rares, si bien que l’achat en ligne est une option souvent privilégiée. Vous ferez alors face à une surabondance de l’offre : des dizaines de marques proposent des centaines de modèles à tous les prix, avec des écarts importants pour des caractéristiques en apparence similaires.

C’est pourquoi nous proposons sous notre propre marque Stelvision des modèles de bon rapport qualité-prix que nous approvisionnons directement auprès des fabricants. Nous en avons élaboré les notices et nous sommes à votre disposition pour vous conseiller sur leur utilisation.

Retrouvez ces explications et de nombreuses idées d’observations dans le guide pratique Le Ciel aux jumelles de Bertrand d’Armagnac, aux éditions Stelvision. Déjà vendu à plus de 28000 exemplaires, ce livre est une référence de l’astronomie aux jumelles. Vous pouvez l’acheter conjointement avec nos produits à prix préférentiel : dans un beau coffret avec les jumelles 10×50 ST2 ou en formule pack avec le monoculaire easyScope. C’est ce guide qui transformera véritablement vos jumelles en instrument d’astronomie et vous accompagnera dans vos découvertes célestes !

couverture du livre Le Ciel aux jumelles

Nous espérons vous avoir aidé à y voir plus clair dans ce monde passionnant des jumelles pour l’astronomie. S’il vous reste des questions, n’hésitez pas à nous contacter !